Un inconnu
Bonjour chers collègues,
Je vous fais part d'une double question qui m'est venue à la suite du séminaire du 11 février.
La conception de l’inconscient-lalangue — entendu comme étant structuré par l’équivoque et articulant les signifiants (Symbolique) à la jouissance (Réel) — rejette-t-elle l’Imaginaire hors de l’Inconscient?
En particulier, quid de la place du fantasme dans l’inconscient-lalangue, si le fantasme relève de la grammaire et que la multiplicité inhérente à lalangue suggère au contraire l’agrammaticalité de cet inconscient?
Amitiés,
Karim